Et si vous faisiez de votre passion votre métier ? Aujourd’hui, c’est l’idéal de vie recherché par les jeunes, la fameuse « génération Z ». Nés avec toutes les nouvelles technologies, baignés par le Net et la simplicité d’accès à tout, ces jeunes n’envisagent pas le travail comme un moyen de gagner sa vie : ils veulent faire ce qu’ils aiment, tout le temps. Et la bonne nouvelle, c’est que c’est de plus en plus possible pour eux… mais aussi pour tous les autres.
Voici deux exemples de ces nouveaux métiers, qui font rêver tout le monde !
E-sport et jeux vidéo
Si, il y a encore quelques années, on s’amusait en ricanant dans notre barbe des joueurs de poker « professionnels », que l’on reléguait au rang des sportifs professionnels, comme les joueurs d’échecs, avec un peu d’amusement, ce sont aujourd’hui les joueurs de jeux vidéo professionnels qui sont décriés par les « vrais » travailleurs. Sauf que, le secteur en est vraiment un et se développe à grande échelle. De nombreux métiers y sont créés régulièrement : joueur professionnel, bien sûr, mais aussi créateurs de jeux vidéo, testeur, youtubeur, journaliste spécialisé… Si vous aimez le jeu vidéo, vous trouverez certainement une voie pour entrer dans le secteur : école d’infographie, animation 3D, école de commerce, école de journalisme… Renseignez-vous !
Youtubeur
Pour beaucoup, youtubeur n’est pas un « vrai » métier. Du point de vus de ces derniers, l’affaire n’est pas si simple. Entre la jeune youtubeuse adepte du Vlog depuis sa chambre d’ado et la vlogueuse beauté spécialisée, il y a tout de même un pas. Sans parler des youtubeurs humoristes, des amateurs de voyages toujours en vadrouille, des gourmets qui testent toute sorte de restaurants ou même des scientifiques, qui partagent leur savoir. Ce qu’il faut retenir, c’est que certains arrivent à en vivre, entre recettes publicitaires, sponsoring de marques et cadeaux. La jeune Enjoyphoenix est même devenue une vraie petite star, invitée des plateaux TV. Attention toutefois : youtubeur comme métier demande plusieurs heures de préparation par jour, de montage vidéo, de community management, puis, quand l’argent rentre, de comptabilité, déclarations fiscales, etc. Eh oui, faire des vidéos à un niveau pro, ça demande… du vrai travail !
