Les meilleurs moyens pour anticiper les tendances de consommation

Folie des hand spinners dans les cours de récré, engouement pour la e-cigarette, retour des casques audio… comment certains particuliers sentent ces tendances ? Comment un grossiste en e-liquide saisi le marché avant les autres ? Comment les sites comme Taklope choisissent les bons produits et arrivent à anticiper les demandes ?

Aucun spécialiste du marketing ne peut nier le rôle important des émotions sur le comportement d’achat des consommateurs. Toutefois, les méthodes pour mesurer cette expérience psychophysiologique divisent les professionnels. D’autres facteurs difficiles à cerner comme la non-conscience en sont les causes. Pour atténuer ce désaccord, essayons de démontrer que les tendances de consommation ne sont pas seulement le résultat de toutes les réactions affectives transitoires.

Différenciez l’émotion et la non-conscience

« La non-conscience » se réfère à tout ce qui est faculté mentale ou comportement rapide et automatique. Autrement dit, les réactions spontanées qu’utilise notre cerveau pour être plus efficace. Ce principe stipule que les acteurs ne sont que des exécutants inconscients des mécanismes structurels de domination. Quant à l’émotion, elle concerne le sentiment. Celle-ci implique les fonctions cognitives de l’organisme (la manière d’apprécier). Elle est positive ou négative. Par une excitation, elle peut être intense. Quoi qu’il en soit, l’émotion est consciente. Néanmoins, il faut noter que le degré de la conscience de l’émotion reste variable.

Comment les études jaugent les aspects non verbalisés par les consommateurs ?

L’outillage traditionnel de la recherche sociologique à travers des entretiens en profondeur (Focus Group), la mesure du non-conscient et de ce qui est émotionnel sont des approches absolument complémentaires. Le « Focus Group » consiste à obtenir des informations venant des consommateurs (opinions, attitudes et expériences) à l’égard d’un lancement ou développement d’un produit ou service. Quant aux paramètres biométriques et techniques du neuromarketing, l’identification des aspects intrapersonnels ou culturels des acheteurs potentiels est mise en avant. Tout ce qui n’est pas verbalisé peut se traduire par des désirs contradictoires, ambivalence de sentiment ou par une incapacité à trancher. Le neuromarketing essaie de comprendre les relations entre les comportements des consommateurs et les mécanismes cérébraux. Le but c’est de savoir comment fonctionne le cerveau lors d’un achat ou face à une publicité.

La méthode efficace à adopter pour identifier ce qui intéresse les consommateurs

Bien qu’intéressantes, les techniques doivent être concrètes et en adéquation avec les objectifs des recherches, ainsi qu’avec les budgets des consommateurs. Du « Focus Group » au « Neuromarketing », quelques facteurs d’adaptation s’avèrent nécessaires pour avoir d’excellents résultats. Pour y parvenir, il est recommandé de faire appel à ceux qui ont des connaissances et de bonnes expériences en la matière. De ce fait, il n’y a pas de formule magique pour pouvoir anticiper les tendances de consommation. Cependant, nous devons chercher tous les moyens possibles pour exploiter au mieux les stratégies marketing que nous disposons jusqu’à maintenant.

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