Professionnels du bâtiment ou constructeurs automobile, vous le savez sûrement déjà : le chrome trivalent, c’est l’avenir ! En 2024, il faudra avoir entièrement fait la transition entre le chrome 6, ou chrome hexavalent, et le chrome 3, plus éco-responsable. Mais comment effectuer cette évolution dans le respect de la loi et, surtout, de l’écologie ? La société Verbrugge est là pour vous accompagner dans ce changement.
Tout savoir sur le chrome dur
Le chrome hexavalent, matière première utilisée pour le chromage dur, est autorisé en Europe jusqu’en septembre 2024. Au-delà, il sera remplacé par le chrome 3, moins nocif pour l’environnement. Ce dernier protégera vos pièces de manière non-toxique, car il aura été réalisé grâce au procédé de l’électrolyse, qui provoque une diminution du sel de chrome. Le chrome trivalent a été savamment étudié par de nombreux industriels depuis 2013. Il s’est avéré être la meilleure solution pour le remplacement du chrome 6 : plus polyvalent, compétitif et crédible.
Pourquoi faire appel à Verbrugge pour le chromage ?
Afin de se préparer dès maintenant à la transition vers le chrome trivalent, http://www.verbrugge.fr a mis au point un Cr6 moderne et « trivalent-ready » : le chrome 3 000 ! Ce projet, initié en 2016, mettra à votre disposition un atelier à la pointe de la technologie, permettant d’intégrer une ligne de chromage robotisée et automatique dernière génération et une ligne polyvalente de chrome trivalent, et ce, d’ici 2020.
L’entreprise Verbrugge, spécialiste en nickelage depuis 1941, travaille sans relâche avec différents acteurs industriels afin de mettre au point, le plus rapidement possible, la transition entre les chromes hexavalent et trivalent. Il s’agit d’un challenge nécessaire où technologie et éco-responsabilité doivent être au cœur d’une stratégie de développement durable.